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Quelles pressions sur le Chief Data Officer ? (Étude)

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Le rôle du CDO est plus crucial que jamais, car la transformation numérique est au premier plan des priorités de l’entreprise, selon une étude. Sous pression, les CDO ont la durée de vie la plus courte de tous les postes de la direction. Pourquoi ?

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Seuls 57 % des CDO français indiquent que leur stratégie de gestion des données est explicitement alignée sur leur transformation numérique (environ 50 % au niveau mondial). C’est l’une des conclusions tirées par une nouvelle étude mondiale commanditée par IBM sur les pressions auxquelles sont confrontés les Chiefs Data Officer d’aujourd’hui.

83 % des CDO en France ont classé la sécurité comme la caractéristique la plus importante de leur architecture de données. 61 % des CDO interrogés au niveau mondial affirment que les données de leurs entreprises ainsi que celles de leurs clients sont sécurisées et protégées. En France, ce sont 58 % des CDO qui reconnaissent que les données de leur organisation sont sécurisées et protégées (54 % en ce qui concerne les données de leurs clients).

En France, 64 % des CDO (60 % dans le monde) déclarent appliquer l’IA et le machine learning pour libérer de la valeur à partir des données, tandis que 68 % (61 % dans le monde) appliquent l’automatisation et 62 % (comme au niveau mondial) la technologie du Cloud hybride.

Plus de la moitié (58 %) des CDO français déclarent prendre des décisions meilleures et plus rapides en appliquant l’IA et les données, mais seulement 38 % utilisent l’IA pour automatiser la prise de décision.

On l’a dit : la pression exercée sur les CDO font qu’ils ont la durée de vie la plus courte de tous les postes de la direction. Les attentes concernant leur rôle et leurs attributions varient considérablement. Pour les CDO français, les principaux obstacles à des partenariats efficaces avec l’écosystème sont les normes communes (59%), des définitions de données incohérentes (53%), les renseignements sur les menaces de cybersécurité (47%) et la transparence et la visibilité (43%).

L’étude peut être consultée en ligne (en anglais) à cette adresse.

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