L’affaire Volkswagen, bon pour le libre
vendredi 25 septembre 2015
Ce problème touchant le constructeur de voiture n’est pas anodin. Il pointe du doigt le problème des logiciels propriétaires dans les objets de tous les jours. Comment savoir ce que fait réellement ce programme ? Transmet-il les bonnes informations, comment, à qui ? Impossible de le savoir. Et donc, toutes les dérives sont possibles, évidemment, afin « d’améliorer » les performances de ses produits.
En privilégiant l’utilisantion des logiciels libres, des organismes indépendants pourraient vérifier les tests faits par le constructeur, tout en auditant surveillant également si le programme répond bien aux normes en vigueur et s’il fait fait bien ce pour quoi il a été conçu.
C’est un véritable plaidoyer pour l’utilisation des logiciels libres dans ce type de produits, mais pas seulement, que ce scandale met à jour. Reste à voir si l’industrie est prête à jouer le jeu, peut-être poussée par la pression de l’opinion publique et par la crise de confiance que cela a provoqué.